Mon beau-frère, qui vit à Singapour, m’a un jour interrogé s’il pouvait se pacser avec sa compagne de nationalité sino-belge. Son interrogation n’était pas un cas isolé dans ma pratique de notaire. Je me suis alors tournée vers la matière qui permet d’y répondre : le droit international privé.
Véritable découverte, je me suis passionnée pour l’appréhension de ces différentes cultures juridiques qu’il convient d’articuler pour les clients globe-trotteurs.